Voici le témoignage de Marie-France H.
Cet exercice divertissant va dans le sens de mon intérêt pour la langue française, planté très tôt dans ma vie par une grand-mère qui fut également ma première institutrice. Je lui dois aussi l'héritage des textes de Victor Hugo dont elle était elle-même "fan", ayant suivi le cortège parisien lors de ses obsèques en 1885, elle avait cinq ans. J'ai dans la mémoire des poèmes qu'elle récitait, ainsi que les pièces d' Edmond Rostand qu'elle connaissait par coeur. Le style amusant des leçons convient certainement à tous les élèves. L' austérité ne m'aurait pas dissuadée. J'en redemande. Dès le matin, je fais ma leçon avec un grand plaisir, regrettant qu'elle soit trop courte, et pas tout-à-fait quotidienne.
— Marie-France H. (Paris, FRANCE)