Gerard L. Historia
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(EN) When signing up for a Gymglish course, which requires consistency and effort, you certainly need to have a motivation. Mine will surprise you: I really like Ukraine, a country where I have long-standing friends. I had the opportunity to study English and to practice it during my professional missions abroad. But alas, without practice I have lost a lot, especially since I learned Russian, a country I will not travel to again. So let's get to the point, shall we? I realised that my Ukrainian friends with whom I used to speak a little Russian will never speak it again. The youngest of them speak a lot of English and little French. So I almost had no choice. The Le Monde newspaper offered me a one-month trial at Gymglish, a good opportunity to get back into the swing of things. But at first I had trouble. I didn't understand the principle very well and spent too much time on the lessons, the instant correction sometimes irritated me because some of its choices didn't suit me! Then gradually I discovered the fun side of the lessons but above all the importance of maintaining a good participation rate as I did not want to miss too many lessons! The results were good, despite the fact that my grammar results were slightly lower, than expected but grammar was my weak point, long before Gymglish! So, after 13 months, I've just resumed the adventure for a year with this method, which I'm convinced will allow me to communicate soon. Only time will tell and with my Ukrainian friends. (FR) En s'inscrivant à un cours Gymglish, qui nécessite de la constance et des efforts, il faut très certainement avoir une motivation. La mienne va vous surprendre: j'aime beaucoup l'Ukraine où j'ai des amis de longue date. J'ai eu l'occasion d'étudier l'anglais et de le pratiquer dans le cadre de mes missions professionnelles à l'étranger. Mais hélas sans pratique j'ai perdu beaucoup, surtout depuis que j'ai appris le russe, pays où je n'irai plus. Alors viens-en au fait pensez-vous ! J'ai compris que mes amis ukrainiens avec qui je parlais un peu en russe ne le parleront plus jamais. Les moins âgés parlent beaucoup l'anglais et peu le français. Je n'avais donc pratiquement pas le choix. Le journal le monde m'a offert un essai d'un mois à Gymglish, une bonne occasion pour me remettre en selle. Mais au début j'ai eu du mal, je n'avais pas très bien compris le principe, je passais trop de temps sur les leçons, le robot correcteur parfois m'irritais car certains de ses choix ne me convenaient pas! Puis progressivement j'ai découvert le côté ludique des leçons mais surtout l'intérêt de la régularité, étant un peu auvernat je ne voulais pas manquer trop de leçons! Les résultats ont été au rendez-vous, malgré des résultats en grammaire très légèrement inférieurs, mais la grammaire était mon point faible , bien avant Gymglish! Alors tout simplement après ces 13 mois je viens de reprendre l' aventure pour une année avec cette méthode, qui j'en suis persuadé me permettra de communiquer bientôt, mais cela c'est l'avenir qui nous le dira, avec mes amis ukrainiens
— Gerard L. (SETE, FRANCE)